Je me suis donc rendu hier, mercredi 27 octobre 2021, au Bernds.
Ma première visite remonte à Noël 2017, 4 ans déjà. Mon Dieu, que le temps passe vite !
Lors de cette première visite en 2017, ça n'avait pas été concluant pour moi. D'abord, j'étais arrivé très tard, vers 21h et le fait que les filles n'animent pas m'avait un peu (beaucoup) déstabilisé par rapport à tous les autres clubs où il suffit juste d'attendre pour qu'une fille s'approche. Et au Bernds, à seulement 3 heures de la fermeture, ce n'est simplement pas assez. Pas assez de temps pour approcher une fille, les filles et pour bien en profiter.
C'en avait été à un point tel que j'étais resté assis pendant 2 heures, dans le divan au rez-de-chaussée comme un con, sans que rien ne se passe ! Et quand j'ai quitté les lieux la queue basse et frustré, "No girl for you !" s'était exclamée la Theke. Pourtant, j'aurais bien voulu prendre cette Milf blonde qui m'avait accueilli (nue) à la porte d'entrée. Elle m'avait donné l'impression d'être la patronne ! Mais complètement nue ainsi, j'ai fantasmé. La patronne, entièrement nue ainsi, qui travaille comme les filles, très belle avec des énormes seins, le tout m'avait rendu fou. Mais elle avait disparu à l'étage, peut-être sa journée était finie. Soit.
Alors hier, il m'a semblé que le jour était venu de retenter l'expérience. Et bien m'en pris ! Bingo cette fois !
Comme tout le monde, je suis étonné de voir à quel point le Schieferhof ** est vraiment un coin reculé, le trou du cul du monde. Cette petite route pour y arriver, presque un sentier de campagne, cabossé et qui tournique pendant 2km à travers bois et prairies (UckeratherStraße)
Mais donc, vraiment ce coup-ci, ça en a valu vraiment la peine et j'y retournerai à coup sûr, à un point que ce sera peut-être déjà mon prochain voyage "Fkk" dans quelques jours. En fait, juste le temps pour moi de récupérer une bonne bite car ce fut torride cette fois-ci. Récupérer mes courbatures dans les hanches et dans les jambes aussi, ça fait de l'exercice tout ça… Et retour prochain, d'autant plus que tout le monde a vraiment souhaité me revoir, autant la Theke que les filles et vous allez comprendre pourquoi si vous poursuivez la lecture.
D'abord donc, en arrivant, je constate que le parking sur la droite, en arrivant dans le village, le club étant un peu plus loin sur la gauche, il est indiqué "Privatparkplatz". Donc je ne vais pas me stationner là. En montant lentement dans la rue, je ne vois que des voitures de riverains stationnées partout. Je passe devant le club, n° 28** que je reconnais immédiatement, même s'il n'y a aucun signe qui indique que c'est l'endroit probablement le plus chaud d'Allemagne… Je fais demi-tour devant deux Teutons qui me regardent, avec ma plaque belge, en se disant hem, en voilà encore un qui vient baiser. Les riverains ne sont pas dupes, bien entendu…
Alors ici déjà un point sympathique, les filles se présentent ! L'une d'elles prend la parole, elle me dit : "Moi c'est Cleo comme Cléopâtre ! Là c'est Isa et là c'est Bianca" Enchanté, Mesdames ! Cleo et Isa un peu plus âgées, presque des MILF (38 ans, je le saurais plus tard) et Bianca plus jeune, fort fraîche et fort jolie.
Belle comme entrée en matière car cela montre à quel point l'ambiance est sympathique ici, aussi entre les filles délurées qui ne font que de se parler, rire, jouer et blaguer entre-elles. C'est beau à voir.
Ensuite, voulant fumer une pipe, je me renseigne où cela peut se faire (le rez-de-chaussée est non fumeur).
Et là, Cleo se lève et me demande de l'accompagner. On se dirige vers le vestiaire des hommes, nous revêtons chacun un peignoir par dessus nos corps nus et je la suis dans le jardin vers une petite cabane en bois qui tient lieu de fumoir.
Elle allume la lumière, met en route le chauffage fait de quelques lampes infrarouges mais ça va, il ne fait pas froid du tout. Et elle ferme la porte.
Je vous vois déjà ici deviner ce qui va se passer…
Et donc voilà, la session se termine, on fume encore chacun une cigarette, moi un cigarillo, on bavarde un peu, on fait connaissance après coup… Cela dans un anglais pas facile pour elles mais peu importe, ça donne du piment à la chose. À cette occasion, elles me demandent d'où je viens "Belgien - Lüttich" leur dis-je. Alors là-dessus, elles m'expliquent qu'il y a un autre francophone, un Français, qui vient une ou deux fois par an au Bernds. Prénommé Didier, il prend l'avion. Passe 3 jours pleins sur place, à baiser comme un malade toutes les filles du Bernds. Puis il repart jusqu'à la prochaine fois. Ce qui laisse bien-entendu penser que le Bernds possède une solide réputation qui dépasse les frontières et qu'on vient de fort loin pour y baiser ses filles fabuleuses dans leur nudité la plus absolue.
Et nous quittons les lieux, les filles vont noter nos heures sur une fiche à la réception. Car c'est ainsi que ça fonctionne au Bernds, on règle la note des filles en fin de journée en partant.
Alors, petite digression ici : je me suis demandé pourquoi cette coutume au Bernds de payer tout à la sortie et rien que là ? En fait, je pense que c'est une astuce imaginée au départ par le fondateur du club (monsieur Bernd donc), à une époque où la prostitution n'était pas encore réglementée, pour suggérer aux autorités que chez lui il ne s'agit pas d'actes de prostitution. En effet, pour qu'il y ait prostitution, il faut deux choses : Il faut un acte sexuel proprement dit et il faut un payement ! Le fait de payer la note au club, en fait de journée, fait qu'on ne paye pas les filles directement. Donc ce n'est pas de la prostitution, puisque c'est le club qui paye les filles et non pas les clients… Voilà ma thèse, qui n'appartient qu'à moi, bien entendu.
Alors donc, retour dans le club et là, je décide de descendre dans le sous-sol voir ce qui s'y passe et peut-être m'y installer une heure ou deux. Ceci d'autant plus que Cleo et Isa me suggèrent d'aller là pour fumer car dans le sous-sol, on peut fumer partout, dans les divans ou au comptoir.
Alors l'affaire amusante, j'entends en allemand Cleo et Isa (qui sont descendues aussi) qui semblent parler de moi "Julio, bla bla, ceci et ça" (je ne comprends que peu l'allemand). Bref j'ai comme l'impression qu'elles sont en train de raconter ce qu'elles venaient de vivre dans cette cabane à putains dans le jardin ! Que donc, ça devait être exceptionnel aussi pour elles. Je ne suis que le modeste contributeur masculin de cette séance de sexe improvisée car elle est surtout redevable à ces deux magnifiques filles. Qui auront su faire preuve de toute la spontanéité voulue pour saisir l'instant et que je remercie ici pour cette spontanéité et cette aisance totale dans leur nudité la plus extrême. Et merci aussi pour l'absence aussi totale du moindre tabou, de la moindre pudeur et pour leur grand savoir-faire.
En tout cas, je sais déjà que j'y retournerai car surtout, une fois la première rencontre avec une fille réalisée, tout devient plus facile. Et comme elles ne sont que 6 ou 8, il est facile de faire le tour complet des filles en 3 ou 4 visites et de se sentir alors totalement à l'aise avec l'ensemble des filles dans le club et de les approcher toutes facilement. Je m'imagine déjà, la prochaine fois, entrer dans le club, rouler une pelle à Cleo, mettre ma main sur son sexe, l'embarquer dans un divan et commencer illico la partie de sexe la plus torride. Ça en 5 secondes dès ma sortie du vestiaire. Un fantasme ! Mais qui est parfaitement réalisable ici.
Et c'est là qu'intervient une autre délicatesse à l'entrée. Outre vérifier mon certificat COVID sur mon GSM avant d'entrer plus loin dans l'établissement, la Theke prendra la peine de m'expliquer les tarifs : Ici, c'est 50,-€ la demi-heure et 100,-€ de l'heure. Voilà qui est clair et net pour tout le monde ! Et ça évite les négociations de marchands de tapis, comme on peut les vivre dans certains clubs.
Car il y a un fait qui m'apparaît très clair aussi et qui est bien spécifique au Bernds : on entre très vite en action ! On a à peine le temps de s'échanger deux ou trois mots avec les filles que l'action commence. Ce qui est normal finalement. Nous, les hommes, nous n'aimons pas et n'avons pas besoin d'attendre pour aller au sexe. On veut, on peut commencer ça tout de suite, dès qu'une fille qui nous convient se présente à notre portée ! Pas besoin de savoir son nom etc., c'est une fille, entièrement nue, prête à baiser, c'est tout. Et donc, dans ces circonstances, qui je pense sont recréées au Bernds, on n'a pas trop le temps de discuter des tarifs. Ce qui contribue justement à accélérer les choses. Bien vu en tout cas de la part de la direction !
Bon, donc, comme je viens de l'expliquer, je suis descendu au sous-sol pour la suite de mon séjour et pour voir un peu comment les choses s'y passent car j'ai l'impression que c'est chaud-chaud-chaud là en-dessous.
Ma première visite remonte à Noël 2017, 4 ans déjà. Mon Dieu, que le temps passe vite !
Lors de cette première visite en 2017, ça n'avait pas été concluant pour moi. D'abord, j'étais arrivé très tard, vers 21h et le fait que les filles n'animent pas m'avait un peu (beaucoup) déstabilisé par rapport à tous les autres clubs où il suffit juste d'attendre pour qu'une fille s'approche. Et au Bernds, à seulement 3 heures de la fermeture, ce n'est simplement pas assez. Pas assez de temps pour approcher une fille, les filles et pour bien en profiter.
C'en avait été à un point tel que j'étais resté assis pendant 2 heures, dans le divan au rez-de-chaussée comme un con, sans que rien ne se passe ! Et quand j'ai quitté les lieux la queue basse et frustré, "No girl for you !" s'était exclamée la Theke. Pourtant, j'aurais bien voulu prendre cette Milf blonde qui m'avait accueilli (nue) à la porte d'entrée. Elle m'avait donné l'impression d'être la patronne ! Mais complètement nue ainsi, j'ai fantasmé. La patronne, entièrement nue ainsi, qui travaille comme les filles, très belle avec des énormes seins, le tout m'avait rendu fou. Mais elle avait disparu à l'étage, peut-être sa journée était finie. Soit.
Alors hier, il m'a semblé que le jour était venu de retenter l'expérience. Et bien m'en pris ! Bingo cette fois !
Comme tout le monde, je suis étonné de voir à quel point le Schieferhof ** est vraiment un coin reculé, le trou du cul du monde. Cette petite route pour y arriver, presque un sentier de campagne, cabossé et qui tournique pendant 2km à travers bois et prairies (UckeratherStraße)
Schieferhof** : surnom donné au lieu en référence au quartier où il se trouve.
Mais donc, vraiment ce coup-ci, ça en a valu vraiment la peine et j'y retournerai à coup sûr, à un point que ce sera peut-être déjà mon prochain voyage "Fkk" dans quelques jours. En fait, juste le temps pour moi de récupérer une bonne bite car ce fut torride cette fois-ci. Récupérer mes courbatures dans les hanches et dans les jambes aussi, ça fait de l'exercice tout ça… Et retour prochain, d'autant plus que tout le monde a vraiment souhaité me revoir, autant la Theke que les filles et vous allez comprendre pourquoi si vous poursuivez la lecture.
D'abord donc, en arrivant, je constate que le parking sur la droite, en arrivant dans le village, le club étant un peu plus loin sur la gauche, il est indiqué "Privatparkplatz". Donc je ne vais pas me stationner là. En montant lentement dans la rue, je ne vois que des voitures de riverains stationnées partout. Je passe devant le club, n° 28** que je reconnais immédiatement, même s'il n'y a aucun signe qui indique que c'est l'endroit probablement le plus chaud d'Allemagne… Je fais demi-tour devant deux Teutons qui me regardent, avec ma plaque belge, en se disant hem, en voilà encore un qui vient baiser. Les riverains ne sont pas dupes, bien entendu…
28**
En Allemagne, à défaut d'enseigne, ce qui est souvent souhaité par les
autorités dans un but de discrétion maximale, ces saunas clubs Fkk sont
tous identifiés par un GRAND CHIFFRE indiquant son numéro dans la rue.
Par chance, il reste une place, sur les trois places possibles juste devant la façade du club. Et je m'y stationne.
Je prends tous mes trucs, ma sacoche "sex kit" avec dedans un sextoy vibrant sur piles pour bien faire jouir les filles, de l'huile et mon parfum. Je prends aussi mon matériel de fumeur, à savoir une pipe, son tabac et ses accessoires. Je prends aussi toujours quelques cigarillos, c'est plus facile à fumer et plus vite terminé quand on fume en chambre avec la fille, ce qui arrive souvent après les ébats, diverses éjaculations et autres fluides en tous genres étant fraîchement écoulés des corps excités. Avant d'entrer, je prends aussi mon argent, 1000,-€, une liasse de 20 billets de 50,-€. J'ai de quoi faire pour ce soir… Mais je n'aurais pas besoin de tout ça, je n'ai jamais eu besoin de tout ça en sauna club Fkk. 300,-€ au total étant le maximum par sortie, à une ou deux exceptions près. En réalité, après le Bernds, je suis descendu au Finca Erotica qui n'est qu'à 35 minutes de là. Mais même après le Finca Erotica, je n'ai pas grillé mes 1000,-€, il restait encore de la réserve. Ceci pour rassurer ceux qui me lisent en se disant que j'ai de gros moyens financiers, ce qui n'est pas exact. Je suis célibataire de longue date, je travaille, ma maison est payée et mes enfants sont casés. Donc plus trop de charges et il me reste de l'argent à la fin du mois.
Je sonne donc au 28, je rentre hop ! Accueilli par qui s'avèrera être Maria dans sa plus totale nudité. Elle est magnifique, notamment avec son immense tatouage qui lui cours tout le long de la jambe et qui remonte jusqu'à son épaule.
70,-€ de forfait d'entrée que je règle à la Theke, bien sympathique, elle s'appelle Conny. Elle me donne la clé de mon armoire et deux draps. Ça va, je sais comment ça fonctionne, c'est la même rengaine partout. Petite douche, rien à signaler, si ce n'est que l'eau est bien chaude, c'est déjà agréable. Et Conny veille au grain, me voilà que je m'approche, nu complet, du guichet, pour rependre un drap, qu'elle me dit que je dois bien porter le masque. En gros elle s'en fout de voir ma bite… elle veut que je porte un masque ! Ok, pas problème, en fait, c'est mieux de porter le masque quand on se déplace d'un point à l'autre du club. De un, vous me voyez à poil avec un masque FFP2 sur la bouche ?😊 De deux, que ce sont les filles les premières à ne pas le faire. Car quand on dit "totalement nues" ça veut dire "totalement nues". Sinon, avec un masque, comment voulez-vous qu'elles roulent des pelles aux clients, par exemple ?
Donc, je demande un café au lait sans sucre et je m'installe dans le divan du rez-de-chaussée entouré de trois filles, vautrées chacune dans ces divans, l'une les jambes bien écartées en train de se caresser la chatte. Elles ont l'art ici de faire ça puisqu'elles ne peuvent pas animer (aller spontanément vers le client). Ça commence bien😊 Une deuxième me fera le même coup, 5 minutes plus tard. Elle ne pouvait pas me montrer son sexe mieux que ça. Ça a bien duré 15 secondes pendant qu'elle me regardait droit dans les yeux, comme pour observer l'effet que ça me faisait… Inutile de dire que j'avais les yeux écarquillés, gros comme des assiettes !😳
Je prends tous mes trucs, ma sacoche "sex kit" avec dedans un sextoy vibrant sur piles pour bien faire jouir les filles, de l'huile et mon parfum. Je prends aussi mon matériel de fumeur, à savoir une pipe, son tabac et ses accessoires. Je prends aussi toujours quelques cigarillos, c'est plus facile à fumer et plus vite terminé quand on fume en chambre avec la fille, ce qui arrive souvent après les ébats, diverses éjaculations et autres fluides en tous genres étant fraîchement écoulés des corps excités. Avant d'entrer, je prends aussi mon argent, 1000,-€, une liasse de 20 billets de 50,-€. J'ai de quoi faire pour ce soir… Mais je n'aurais pas besoin de tout ça, je n'ai jamais eu besoin de tout ça en sauna club Fkk. 300,-€ au total étant le maximum par sortie, à une ou deux exceptions près. En réalité, après le Bernds, je suis descendu au Finca Erotica qui n'est qu'à 35 minutes de là. Mais même après le Finca Erotica, je n'ai pas grillé mes 1000,-€, il restait encore de la réserve. Ceci pour rassurer ceux qui me lisent en se disant que j'ai de gros moyens financiers, ce qui n'est pas exact. Je suis célibataire de longue date, je travaille, ma maison est payée et mes enfants sont casés. Donc plus trop de charges et il me reste de l'argent à la fin du mois.
Je sonne donc au 28, je rentre hop ! Accueilli par qui s'avèrera être Maria dans sa plus totale nudité. Elle est magnifique, notamment avec son immense tatouage qui lui cours tout le long de la jambe et qui remonte jusqu'à son épaule.
70,-€ de forfait d'entrée que je règle à la Theke, bien sympathique, elle s'appelle Conny. Elle me donne la clé de mon armoire et deux draps. Ça va, je sais comment ça fonctionne, c'est la même rengaine partout. Petite douche, rien à signaler, si ce n'est que l'eau est bien chaude, c'est déjà agréable. Et Conny veille au grain, me voilà que je m'approche, nu complet, du guichet, pour rependre un drap, qu'elle me dit que je dois bien porter le masque. En gros elle s'en fout de voir ma bite… elle veut que je porte un masque ! Ok, pas problème, en fait, c'est mieux de porter le masque quand on se déplace d'un point à l'autre du club. De un, vous me voyez à poil avec un masque FFP2 sur la bouche ?😊 De deux, que ce sont les filles les premières à ne pas le faire. Car quand on dit "totalement nues" ça veut dire "totalement nues". Sinon, avec un masque, comment voulez-vous qu'elles roulent des pelles aux clients, par exemple ?
Donc, je demande un café au lait sans sucre et je m'installe dans le divan du rez-de-chaussée entouré de trois filles, vautrées chacune dans ces divans, l'une les jambes bien écartées en train de se caresser la chatte. Elles ont l'art ici de faire ça puisqu'elles ne peuvent pas animer (aller spontanément vers le client). Ça commence bien😊 Une deuxième me fera le même coup, 5 minutes plus tard. Elle ne pouvait pas me montrer son sexe mieux que ça. Ça a bien duré 15 secondes pendant qu'elle me regardait droit dans les yeux, comme pour observer l'effet que ça me faisait… Inutile de dire que j'avais les yeux écarquillés, gros comme des assiettes !😳
Alors ici déjà un point sympathique, les filles se présentent ! L'une d'elles prend la parole, elle me dit : "Moi c'est Cleo comme Cléopâtre ! Là c'est Isa et là c'est Bianca" Enchanté, Mesdames ! Cleo et Isa un peu plus âgées, presque des MILF (38 ans, je le saurais plus tard) et Bianca plus jeune, fort fraîche et fort jolie.
Belle comme entrée en matière car cela montre à quel point l'ambiance est sympathique ici, aussi entre les filles délurées qui ne font que de se parler, rire, jouer et blaguer entre-elles. C'est beau à voir.
Ensuite, voulant fumer une pipe, je me renseigne où cela peut se faire (le rez-de-chaussée est non fumeur).
Et là, Cleo se lève et me demande de l'accompagner. On se dirige vers le vestiaire des hommes, nous revêtons chacun un peignoir par dessus nos corps nus et je la suis dans le jardin vers une petite cabane en bois qui tient lieu de fumoir.
Elle allume la lumière, met en route le chauffage fait de quelques lampes infrarouges mais ça va, il ne fait pas froid du tout. Et elle ferme la porte.
Je vous vois déjà ici deviner ce qui va se passer…
Beh oui, ça sent déjà la baise à plein nez, deux filles et moi… Lisez, vous allez voir comment.
Trio typique en sauna club Fkk. Vous pénétrez l'une pendant que vous sucez l'autre. Comme ça, tout le monde prend du plaisir en même temps😎 |
Donc là où nous sommes, Cleo et moi, ce n'est pas une chambre, c'est juste un fumoir dans lequel quelqu'un
peut entrer à tout moment. Alors Cleo ôte son encombrant peignoir, je
fais de même, je retire aussi la serviette de bain qui entoure ma
taille. Elle assise sur un divan, moi sur l'autre, tous les deux nus
comme des vers, elle allume une cigarette, moi un cigarillo et nous
commençons à papoter, à faire connaissance. Outre ce que j'ai déjà dit,
Cleo est Polonaise. Ce qui n'est pas courant et je me dis déjà "Ouais, les filles de l'Est sont chaude…"
Ce qui, de mon expérience, s'avère toujours exact. Alors donc, c'est ça
qui est tellement spécial au Bernds, l'affaire aurait pu en rester là,
nous aurions très bien pu quitter les lieux et repartir chacun vaquer à
nos occupations. À aucun moment, malgré que nous étions seuls, malgré
que nous discutions pendant 10 minutes, entièrement nus l'un comme
l'autre, à aucun moment Cleo ne m'a proposé d'aller plus loin. C'est moi
qui, à un moment donné, me suis dit qu'il fallait la récompenser pour le
temps qu'elle venait de passer avec moi, sachant aussi, bien entendu,
qu'elle n'attendait que ça😛
Alors j'ai juste pris ma main et tapé deux fois sur le siège à côté du
mien. Je n'ai jamais vu une fille comprendre si vite, se lever aussi vite, venir s'asseoir,
prendre mon sexe dans sa main, soupeser mes couilles et me rouler directement
une énorme galoche à m'en arracher les amygdales ! C'est ça le Bernds, cette
façon unique pour les filles de se présenter à vous.
Je passe les détails, cunnilingus, masturbation en règle, pipes à n'en
plus finir, re-galoches, re-cunni, 69, pénétrations, tout y passe sur ce
divan.
Alors ce qui devait arriver arriva, une autre fille entre dans cette cabane et s'assoit pour fumer sa cigarette. Hello, how are you? Fine and you?" Mais Cleo et moi continuons nos affaires comme si de rien n'était. J'étais à ce moment-là accroupi, la bite pendante sur le sol et bien voyante pour la nouvelle spectatrice et je m'affairais à un cunni en règle sur le sexe de Cleo. Jusqu'à ce qu'elle grimpe au plafond, remplie de spasmes et criant comme pas possible. Et l'autre qui regardait le spectacle, tranquilou en train de fumer sa clope. Et là je m'aperçois qu'elle tenait sa cigarette d'une main et qu'elle se masturbait de l'autre en nous regardant…
Même que c'est leur métier, ces filles ne restent pas insensibles, elles ont une libido monstrueuse !
Alors je me suis dit que nous ne pouvions raisonnablement pas la laisser seule ainsi et, alors que j'ai à peine vu à quoi ressemble la fille, je ne connais ni son nom ni rien sur elle, si ce n'est qu'elle a un sexe chaud comme les autres. D'un tout petit signe de la main, je lui fais comprendre qu'elle peut nous rejoindre. Elle aussi, elle a compris tout de suite, elle est arrivée d'une vitesse… Elle a pris mon sexe dans sa main, a commencé à me masturber, à me caresser les cheveux pendant que je suçais l'autre.
Me voilà parti dans un trio d'enfer avec deux filles et ce, de manière tout à fait imprévisible. Et avec deux filles que je n'ai pas choisies, de surcroit. Elles passaient par là, c'est tout.
La séance se poursuit, nous resterons une bonne heure au total et j'alterne les deux filles, une qui me suce, l'autre en "face-sitting" pour lui lécher le clitoris, la faire hurler pendant que je triture et masse ses seins autant que je peux. Seins qu'elles ont d'ailleurs toutes les deux très beaux, faut-il le dire. Une fois, c'est Cleo qui me suce et je suce sa copine, dénommée Isa, je l'apprendrai plus tard. Puis, on échange : c'est Isa qui passe derrière, qui me suce le pénis, Cleo qui vient devant, en "facesitting" et je lui suce le clitoris et l'entrée du vagin. J'aspire ses lèvres dans ma bouche, c'est délicieux et elle prend un pied comme pas possible. Et ainsi de suite, on a bien échangé 4 ou 5 fois. L'une devant, l'autre derrière et ainsi de suite.
Alors ce qui devait arriver arriva, une autre fille entre dans cette cabane et s'assoit pour fumer sa cigarette. Hello, how are you? Fine and you?" Mais Cleo et moi continuons nos affaires comme si de rien n'était. J'étais à ce moment-là accroupi, la bite pendante sur le sol et bien voyante pour la nouvelle spectatrice et je m'affairais à un cunni en règle sur le sexe de Cleo. Jusqu'à ce qu'elle grimpe au plafond, remplie de spasmes et criant comme pas possible. Et l'autre qui regardait le spectacle, tranquilou en train de fumer sa clope. Et là je m'aperçois qu'elle tenait sa cigarette d'une main et qu'elle se masturbait de l'autre en nous regardant…
Même que c'est leur métier, ces filles ne restent pas insensibles, elles ont une libido monstrueuse !
Alors je me suis dit que nous ne pouvions raisonnablement pas la laisser seule ainsi et, alors que j'ai à peine vu à quoi ressemble la fille, je ne connais ni son nom ni rien sur elle, si ce n'est qu'elle a un sexe chaud comme les autres. D'un tout petit signe de la main, je lui fais comprendre qu'elle peut nous rejoindre. Elle aussi, elle a compris tout de suite, elle est arrivée d'une vitesse… Elle a pris mon sexe dans sa main, a commencé à me masturber, à me caresser les cheveux pendant que je suçais l'autre.
Me voilà parti dans un trio d'enfer avec deux filles et ce, de manière tout à fait imprévisible. Et avec deux filles que je n'ai pas choisies, de surcroit. Elles passaient par là, c'est tout.
La séance se poursuit, nous resterons une bonne heure au total et j'alterne les deux filles, une qui me suce, l'autre en "face-sitting" pour lui lécher le clitoris, la faire hurler pendant que je triture et masse ses seins autant que je peux. Seins qu'elles ont d'ailleurs toutes les deux très beaux, faut-il le dire. Une fois, c'est Cleo qui me suce et je suce sa copine, dénommée Isa, je l'apprendrai plus tard. Puis, on échange : c'est Isa qui passe derrière, qui me suce le pénis, Cleo qui vient devant, en "facesitting" et je lui suce le clitoris et l'entrée du vagin. J'aspire ses lèvres dans ma bouche, c'est délicieux et elle prend un pied comme pas possible. Et ainsi de suite, on a bien échangé 4 ou 5 fois. L'une devant, l'autre derrière et ainsi de suite.
Alors des trios, je peux dire que j'en ai déjà fait, dans plusieurs
clubs avec diverses filles, mais ici, je peux dire que ce fut torride !
Et il fallait voir comment ces filles s'amusaient, rigolaient, prenaient
leur pied ! Il faut être Bernds pour vivre ça, ce sont des
nymphomanes ces filles.
Alors ce n'est pas fini, alors que je suis couché sur le divan avec les
deux filles affairées sur moi, voilà la Theke qui entre ! Alors pour rire, je lui dis "Hello, it's Julio here !"(Hello, c'est Julio ici). Elle me
reconnait bien sûr et tout le monde se met à rigoler. Elle ne venait pas
s'enquérir de ce qui se passait dans sa cabane à putains. Non, elle
venait juste demander aux filles de ne pas oublier d'éteindre la lumière
et la chaufferette électrique en partant ! Voilà qui est cool et
attentionné et totalement désintéressé de sa part😎
Et donc voilà, la session se termine, on fume encore chacun une cigarette, moi un cigarillo, on bavarde un peu, on fait connaissance après coup… Cela dans un anglais pas facile pour elles mais peu importe, ça donne du piment à la chose. À cette occasion, elles me demandent d'où je viens "Belgien - Lüttich" leur dis-je. Alors là-dessus, elles m'expliquent qu'il y a un autre francophone, un Français, qui vient une ou deux fois par an au Bernds. Prénommé Didier, il prend l'avion. Passe 3 jours pleins sur place, à baiser comme un malade toutes les filles du Bernds. Puis il repart jusqu'à la prochaine fois. Ce qui laisse bien-entendu penser que le Bernds possède une solide réputation qui dépasse les frontières et qu'on vient de fort loin pour y baiser ses filles fabuleuses dans leur nudité la plus absolue.
Et nous quittons les lieux, les filles vont noter nos heures sur une fiche à la réception. Car c'est ainsi que ça fonctionne au Bernds, on règle la note des filles en fin de journée en partant.
Alors, petite digression ici : je me suis demandé pourquoi cette coutume au Bernds de payer tout à la sortie et rien que là ? En fait, je pense que c'est une astuce imaginée au départ par le fondateur du club (monsieur Bernd donc), à une époque où la prostitution n'était pas encore réglementée, pour suggérer aux autorités que chez lui il ne s'agit pas d'actes de prostitution. En effet, pour qu'il y ait prostitution, il faut deux choses : Il faut un acte sexuel proprement dit et il faut un payement ! Le fait de payer la note au club, en fait de journée, fait qu'on ne paye pas les filles directement. Donc ce n'est pas de la prostitution, puisque c'est le club qui paye les filles et non pas les clients… Voilà ma thèse, qui n'appartient qu'à moi, bien entendu.
Alors donc, retour dans le club et là, je décide de descendre dans le sous-sol voir ce qui s'y passe et peut-être m'y installer une heure ou deux. Ceci d'autant plus que Cleo et Isa me suggèrent d'aller là pour fumer car dans le sous-sol, on peut fumer partout, dans les divans ou au comptoir.
Alors l'affaire amusante, j'entends en allemand Cleo et Isa (qui sont descendues aussi) qui semblent parler de moi "Julio, bla bla, ceci et ça" (je ne comprends que peu l'allemand). Bref j'ai comme l'impression qu'elles sont en train de raconter ce qu'elles venaient de vivre dans cette cabane à putains dans le jardin ! Que donc, ça devait être exceptionnel aussi pour elles. Je ne suis que le modeste contributeur masculin de cette séance de sexe improvisée car elle est surtout redevable à ces deux magnifiques filles. Qui auront su faire preuve de toute la spontanéité voulue pour saisir l'instant et que je remercie ici pour cette spontanéité et cette aisance totale dans leur nudité la plus extrême. Et merci aussi pour l'absence aussi totale du moindre tabou, de la moindre pudeur et pour leur grand savoir-faire.
En tout cas, je sais déjà que j'y retournerai car surtout, une fois la première rencontre avec une fille réalisée, tout devient plus facile. Et comme elles ne sont que 6 ou 8, il est facile de faire le tour complet des filles en 3 ou 4 visites et de se sentir alors totalement à l'aise avec l'ensemble des filles dans le club et de les approcher toutes facilement. Je m'imagine déjà, la prochaine fois, entrer dans le club, rouler une pelle à Cleo, mettre ma main sur son sexe, l'embarquer dans un divan et commencer illico la partie de sexe la plus torride. Ça en 5 secondes dès ma sortie du vestiaire. Un fantasme ! Mais qui est parfaitement réalisable ici.
Et c'est là qu'intervient une autre délicatesse à l'entrée. Outre vérifier mon certificat COVID sur mon GSM avant d'entrer plus loin dans l'établissement, la Theke prendra la peine de m'expliquer les tarifs : Ici, c'est 50,-€ la demi-heure et 100,-€ de l'heure. Voilà qui est clair et net pour tout le monde ! Et ça évite les négociations de marchands de tapis, comme on peut les vivre dans certains clubs.
Car il y a un fait qui m'apparaît très clair aussi et qui est bien spécifique au Bernds : on entre très vite en action ! On a à peine le temps de s'échanger deux ou trois mots avec les filles que l'action commence. Ce qui est normal finalement. Nous, les hommes, nous n'aimons pas et n'avons pas besoin d'attendre pour aller au sexe. On veut, on peut commencer ça tout de suite, dès qu'une fille qui nous convient se présente à notre portée ! Pas besoin de savoir son nom etc., c'est une fille, entièrement nue, prête à baiser, c'est tout. Et donc, dans ces circonstances, qui je pense sont recréées au Bernds, on n'a pas trop le temps de discuter des tarifs. Ce qui contribue justement à accélérer les choses. Bien vu en tout cas de la part de la direction !
Bon, donc, comme je viens de l'expliquer, je suis descendu au sous-sol pour la suite de mon séjour et pour voir un peu comment les choses s'y passent car j'ai l'impression que c'est chaud-chaud-chaud là en-dessous.
Arrivé en bas, je m'installe dans ce long divan en coin, avec à côté de moi un Allemand
et une fille et plus loin un autre Allemand. Une seconde fille se tient
au bar et sert quelques boissons. Ce n'est pas une serveuse attitrée
qui le fait, c'est une des filles, nue, qui sert au bar et qui vient
vous servir.
Me mettre nu, je le fais aussi. En m'asseyant, je délace toujours ma serviette et je m'allonge sur le divan, la bite à l'air, comme à mon habitude, d'ailleurs aussi dans les autres clubs. Sauf que là, contrairement à ce que je pensais (je fais ça pour attirer les filles), sauf que là tout le monde s'en fout ! (sauf peut-être les filles…)
Je ferais d'ailleurs l'expérience un peu plus tard dans la journée : remonter les escaliers nu, déambuler partout au rez-de-chaussée ainsi, personne ne fait attention. C'est normal. Alors pourquoi pas ? Pour rire, la prochaine fois, je viendrai avec un string constitué juste d'un élastique qui me prend la bite et les couilles par en-dessous, histoire de bien balancer tout ça en évidence devant tout le monde, devant les filles surtout😁
Me mettre nu, je le fais aussi. En m'asseyant, je délace toujours ma serviette et je m'allonge sur le divan, la bite à l'air, comme à mon habitude, d'ailleurs aussi dans les autres clubs. Sauf que là, contrairement à ce que je pensais (je fais ça pour attirer les filles), sauf que là tout le monde s'en fout ! (sauf peut-être les filles…)
Je ferais d'ailleurs l'expérience un peu plus tard dans la journée : remonter les escaliers nu, déambuler partout au rez-de-chaussée ainsi, personne ne fait attention. C'est normal. Alors pourquoi pas ? Pour rire, la prochaine fois, je viendrai avec un string constitué juste d'un élastique qui me prend la bite et les couilles par en-dessous, histoire de bien balancer tout ça en évidence devant tout le monde, devant les filles surtout😁
Dans ce sous-sol, je suis assis sur ce canapé à côté de la baie vitrée (à droite sur la photo ci-dessus)
derrière laquelle est sensé se trouver le matelas où l'on peut s'ébattre
à la vue de tous. S'y trouve aussi
juste un fauteuil à peine assez grand pour s'y assoir à deux, avec une
petite table, un cendrier, une boite de serviettes en papier et une
écuelle avec quelques capotes. Bref, tout ça est quand-même là pour tirer son coup avec une fille.
S'y trouve aussi, derrière cette baie, une sorte de cage en bois avec des trous, le sol étant recouvert d'une moquette agréable à pieds nus. Je n'ai pas demandé à une fille de m'expliquer à quoi ça sert tout ça, mais je devine. C'est comme un "glory-hole". Tu pousses ta bite dans le trou et hop, la fille te la suce par l'autre côté. Les trous à hauteur de poitrine, c'est à mon avis pour les filles y pousser leurs seins histoire de se faire sucer les tétons par l'autre côté.
S'y trouve aussi, derrière cette baie, une sorte de cage en bois avec des trous, le sol étant recouvert d'une moquette agréable à pieds nus. Je n'ai pas demandé à une fille de m'expliquer à quoi ça sert tout ça, mais je devine. C'est comme un "glory-hole". Tu pousses ta bite dans le trou et hop, la fille te la suce par l'autre côté. Les trous à hauteur de poitrine, c'est à mon avis pour les filles y pousser leurs seins histoire de se faire sucer les tétons par l'autre côté.
Glory-hole, premier usage : la masturbation |
Glory-hole, second usage : La pipe |
Glory-hole, troisième usage : la pénétration |
Glory-hole, quatrième usage : Le CIF "Cum In Face" (sperme dans le visage) |
On voit donc sur ces images qu'avec les glory-holes, ce ne sont pas les possibilités qui manquent😊
Il y a aussi, là derrière, un siège en cuir
suspendu au plafond avec des chaînes dans lequel on peut s'installer le
sexe à l'air. Aurait-on monté là un mini "donjon" ? La prochaine
fois, je vais m'enquérir et peut-être en profiter. Juste une chose, les
trous à hauteur de bite sont un peu hauts pour moi… Je n'ai pas la taille
de tous ces Allemands qui fréquentent le club. Mais je ne doute pas
qu'on puisse demander un tabouret😊
Et donc, c'est chaud en effet là bas. Alors que c'est très rare dans les autres saunas clubs, j'aurais vu, en deux heures de temps, 3 bites en érection ! Et des solides… Le premier, en arrivant, assis à côté de moi sur le divan et en train de se faire masturber copieusement par la fille. Ils ont fait ça pendant un bon moment avant de s'éclipser dans une chambre. Le second est apparu en pleine érection, nu comme un vers venant du rez-de-chaussée avec une fille devant lui, pour aller dans une chambre. Et le troisième est venu avec Maria (magnifique cette fille). Elle s'est assise sur un tabouret à une table haute et après un moment, le gars, debout, a simplement posé sa bite quasi en érection sur la jambe de Maria. D'où elle a commencé à la caresser, la masser, il ne lui a pas fallu une minute pour bander comme un taureau. Suivi d'un départ rapide en chambre, évidemment. Voilà le Bernds, on ne voit ça nulle part ailleurs à nouveau. Ou très rarement.
Ainsi le temps passe, je me fais servir un autre café (toujours par une fille nue de passage par là), je fume une pipe relax, regarde défiler les filles. Je jauge leurs seins qui balancent, j'observe leurs fesses qui dandinent, je lorgne leur sexe toujours parfaitement rasé. J'essaye aussi de retenir leurs noms aussi. Ce n'est pas difficile, elles ne sont que 6 présentes ce jour-là.
Étaient donc présentes Cleo, Isa, Maria, Candy, Bianca et Erika. Elles me disent que ce vendredi, ce sera la journée d'Halloween et qu'elles seront 8.
Erika, une toute petite fille, elle est la masseuse et la femme à tout faire dans le club.
Que dire d'autre ?
Oui, chaude aussi, Erika qui déambule partout pour ramasser le linge, le conduire à la lessive en bas et faire quelques tâches vêtue seulement d'un petit chemisier ras-la-touffe (qu'elle n'a pas vu qu'elle est rasée, aussi) et qui ne se gène évidemment pas d'exposer son sexe en se baissant pour ramasser ce qui est par terre, par exemple. Donc son cul, cette fille-là, je le connais par cœur à présent… Elle fait aussi en sorte qu'on distingue assez bien sa chatte par devant dans l'échancrure de ce chemisier. Ces filles, elles transpirent le sexe par tous les pores ! J'ai aussi aperçu cette Erika entièrement nue dans le club un moment. Le Bernds est aussi un des rares club où, lors d'un massage, la fille s'adonne à un "Happy ending" de son client. Non pas seulement en le masturbant, mais en le montant sur la table de massage. Il paraît qu'elles font ça deux ou trois fois par jour, compris dans le prix du massage en début de journée. Je n'ai pas vérifié, mais c'est un point que je demanderai lors de ma prochaine visite, qui se fera dès lors à l'ouverture car j'ai envie d'en profiter. Surtout qu'elle n'est pas mal, Erika, j'aime bien les petites salopes comme elle😘
Ceci termine le récit de ma visite du Bernds de ce 27 octobre 2021. Merci de m'avoir lu jusqu'ici.
Je voudrais finalement faire fi des critiques qu'on lit ici et là dans les forums sur Internet : J'ai fait beaucoup de clubs en Allemagne, plus d'une trentaine. Et je voudrais ici souligner que si le Bernds a connu une passe à vide (que je n'ai pas vérifiée). D'autres clubs ont vécu aussi une passe à vide en 2019, je crois que ça a été le cas dans toute l'Allemagne.
Je voudrais aussi dire ici que, si cette passe à vide a bien existé, qu'elle est révolue maintenant et que le Bernds mérite d'être (re)visité par les punters** les plus aguerris. Le détour en vaut vraiment la peine et c'est aussi aux clients aguérris de faire la réputation du club, par leur comportement. Mais je le dis aussi, il faut être endurci, expérimenté pour aller dans ce club. Il faut oser et savoir approcher les filles, il faut comprendre comment elles fonctionnent (et en profiter). Il faut aussi apprécier le sexe en public, faire fi de sa timidité, de ses peurs, etc. Bref, ne pas y aller si c'est votre première fois, le "niveau" est très élevé.
Et donc, c'est chaud en effet là bas. Alors que c'est très rare dans les autres saunas clubs, j'aurais vu, en deux heures de temps, 3 bites en érection ! Et des solides… Le premier, en arrivant, assis à côté de moi sur le divan et en train de se faire masturber copieusement par la fille. Ils ont fait ça pendant un bon moment avant de s'éclipser dans une chambre. Le second est apparu en pleine érection, nu comme un vers venant du rez-de-chaussée avec une fille devant lui, pour aller dans une chambre. Et le troisième est venu avec Maria (magnifique cette fille). Elle s'est assise sur un tabouret à une table haute et après un moment, le gars, debout, a simplement posé sa bite quasi en érection sur la jambe de Maria. D'où elle a commencé à la caresser, la masser, il ne lui a pas fallu une minute pour bander comme un taureau. Suivi d'un départ rapide en chambre, évidemment. Voilà le Bernds, on ne voit ça nulle part ailleurs à nouveau. Ou très rarement.
Ainsi le temps passe, je me fais servir un autre café (toujours par une fille nue de passage par là), je fume une pipe relax, regarde défiler les filles. Je jauge leurs seins qui balancent, j'observe leurs fesses qui dandinent, je lorgne leur sexe toujours parfaitement rasé. J'essaye aussi de retenir leurs noms aussi. Ce n'est pas difficile, elles ne sont que 6 présentes ce jour-là.
Étaient donc présentes Cleo, Isa, Maria, Candy, Bianca et Erika. Elles me disent que ce vendredi, ce sera la journée d'Halloween et qu'elles seront 8.
Erika, une toute petite fille, elle est la masseuse et la femme à tout faire dans le club.
Que dire d'autre ?
Oui, chaude aussi, Erika qui déambule partout pour ramasser le linge, le conduire à la lessive en bas et faire quelques tâches vêtue seulement d'un petit chemisier ras-la-touffe (qu'elle n'a pas vu qu'elle est rasée, aussi) et qui ne se gène évidemment pas d'exposer son sexe en se baissant pour ramasser ce qui est par terre, par exemple. Donc son cul, cette fille-là, je le connais par cœur à présent… Elle fait aussi en sorte qu'on distingue assez bien sa chatte par devant dans l'échancrure de ce chemisier. Ces filles, elles transpirent le sexe par tous les pores ! J'ai aussi aperçu cette Erika entièrement nue dans le club un moment. Le Bernds est aussi un des rares club où, lors d'un massage, la fille s'adonne à un "Happy ending" de son client. Non pas seulement en le masturbant, mais en le montant sur la table de massage. Il paraît qu'elles font ça deux ou trois fois par jour, compris dans le prix du massage en début de journée. Je n'ai pas vérifié, mais c'est un point que je demanderai lors de ma prochaine visite, qui se fera dès lors à l'ouverture car j'ai envie d'en profiter. Surtout qu'elle n'est pas mal, Erika, j'aime bien les petites salopes comme elle😘
Ceci termine le récit de ma visite du Bernds de ce 27 octobre 2021. Merci de m'avoir lu jusqu'ici.
Je voudrais finalement faire fi des critiques qu'on lit ici et là dans les forums sur Internet : J'ai fait beaucoup de clubs en Allemagne, plus d'une trentaine. Et je voudrais ici souligner que si le Bernds a connu une passe à vide (que je n'ai pas vérifiée). D'autres clubs ont vécu aussi une passe à vide en 2019, je crois que ça a été le cas dans toute l'Allemagne.
Je voudrais aussi dire ici que, si cette passe à vide a bien existé, qu'elle est révolue maintenant et que le Bernds mérite d'être (re)visité par les punters** les plus aguerris. Le détour en vaut vraiment la peine et c'est aussi aux clients aguérris de faire la réputation du club, par leur comportement. Mais je le dis aussi, il faut être endurci, expérimenté pour aller dans ce club. Il faut oser et savoir approcher les filles, il faut comprendre comment elles fonctionnent (et en profiter). Il faut aussi apprécier le sexe en public, faire fi de sa timidité, de ses peurs, etc. Bref, ne pas y aller si c'est votre première fois, le "niveau" est très élevé.
Punter** : se dit d'un client régulier et aguerri des sauna club Fkk. Je suis sans aucun doute un Punter😊
© Putri Cinta. www.putricinta.com. Actrice porno indonésienne. Hauts-talons et totalement nue comme les filles en saunas clubs Fkk. |