Ce jeudi 6 janvier 2022, je me suis donc rendu, comme prévu, au Bernds pour la 6ième fois. Ma précédente visite remonte au 5 décembre dernier, il y a juste 1 mois.
J'ai encore vécu une expérience différente cette fois-ci comme vous allez le voir si vous avez le courage et le temps de me lire jusqu'au bout😉
Avant de partir de chez moi, j'ai téléphoné quand-même au club pour m'assurer qu'il était bien réouvert après les festivités. Oui c'était le cas, pas de souci, je peux faire les kilomètres qu'il faut depuis mon domicile, environ 1h30 de route.
J'ai mis le temps pour me préparer avant de partir. L'air de rien, ça prend du temps, vérifier le contenu de ma sacoche, faire les deux ou trois courses pour compléter les choses qui manquaient dedans, à savoir un paquet de tabac pour pipe qui nous vient de la Semois en Belgique. Il ne reste que deux ou trois fabricants-vendeurs de tabac pour pipe dans la vallée de la Semois, c'est réputé de longue date. Je ne vais pas jusque Corbion pour aller chercher ça, bien sûr, on sait s'en procurer à Liège, notamment. Tanja du Babylon m'a aussi offert avant Noël une "pafeteuse" lorsque je la conduisais à l'aéroport de Dortmund pour retourner en Roumanie passer les réveillons dans sa famille. J'ai donc été me procurer des résistances et du liquide pour ce bidule. C'est tout une histoire en soi ces machins, aussi compliqués que la pipe. Je ne vais pas décrire ça ici, ce n'est pas le thème de ce site. Me raser de près aussi, la barbe et le pubis. Passer par la banque aussi, retirer du liquide, faire le plein de la voiture non loin de chez moi. Parfois, en chemin, je passe par la pompe à Preuswald juste après la frontière avant d'entrer dans Aachen mais je ne l'ai pas fait cette fois-ci, pas trop le temps. D'autant que je devais encore passer par Niederzier pour obtenir mon "Schnelltest" COVID nécessaire, en plus des deux vaccins minimum, pour entrer dans n'importe quel club en Allemagne. Test négatif, valable 24 heures. Je l'ai passé à 17h12, il est donc valable jusque ce vendredi 7 janvier à 17h12, je vais y revenir (où je suis retourné au Bernds, je relate cette journée dans un autre billet)
Tanja au Babylon |
Idem |
Je voudrais souligner ici que depuis que je passe à ce centre de test à Niederzier, il y a chaque fois plus de voitures qui font la file ! L'opération m'a pris en tout 60 minutes ! Alors que la toute première fois que je l'ai passé, l'année dernière, ça n'avait pris que 15 petites minutes entre le moment où j'avais quitté l'autoroute et le moment où je l'ai reprise. J'avais trouvé ça génial, maintenant moins… Ce n'est qu'en arrivant sous la tente que j'ai compris ce qui se passait : Outre les tests COVID, les deux filles en charge, s'occupent en plus de prodiguer des vaccins 3ème dose à des piétons qui font la file là aussi ! Ça va vite mais quand-même, j'ai compté au moins une quinzaine de piétons qui attendaient. Ça ne marche pas comme en Belgique, après l'injection, lesdits piétons, s'en vont tout de suite les jambes à leur cou ! Tandis que chez nous, en Belgique, après l'injection on vous fait encore poireauter 15 minutes assis dans une salle de repos, histoire de s'assurer que vous n'aller pas faire un malaise, tomber dans les pommes ou autre-chose du genre. Bref chacun ses méthodes dans cette merveilleuse Europe unie du 21ième siècle…
J'arrive donc au Bernds aux alentours de 18h10 dans le trafic habituel, surtout à partir de Frechen en descendant sur Cologne. Et quand on est passé Cologne, il faut faire attention que 6,6 km avant la sortie vers le Schieferhof, sortie "Altenkirchen", à l'entrée de la zone de travaux, il faut absolument serrer sa droite et s'engager sur la bande de droite sinon vous ratez la sortie Altenkirchen et vous êtes partis pour un détour de 5km en prenant un chemin beaucoup moins direct passant par des campagnes et des petites routes sinueuses justes bonnes pour les tracteurs agricoles !
Arrivé au Bernds, parking aisé juste devant le club, j'entre, Bianca m'accueille, Dieu qu'elle est belle, dans sa nudité la plus complète💗
Je règle mes 70,-€ de droit d'entrée, exhibe tous mes documents et messages de l'application "Chayns" relatifs au Covid et tout se passe bien. C'est Maria, totalement nue aussi bien sûr, qui me guide, comme d'habitude vers le vestiaire. Passage par les toilettes, déshabillage complet, douche, sandales pointure 43, drap autour de la taille, parfum sur le torse histoire de plaire aux filles et hop me voilà dans l'arène. Petit coup d’œil au coin resto pour voir ce qu'il y a au menu aujourd'hui, des carbonnades avec des pâtes et les crudités habituelles. Je ne mange pas de suite, j'attendrai après la 1ère session. C'est toujours mieux de baiser sans avoir le ventre plein, question d'efficacité technique... j'ai appris qu'il vaut mieux concentrer son énergie à ce qu'on va faire plutôt que d'avoir le sang dans l'estomac à digérer ! Quand j'étais gamin, ma mère disait toujours, avant d'aller à la piscine il faut se laisser digérer le repas au moins deux heures, méthode que j'applique aussi au sport en chambre dès lors !
Mon intention est de descendre au sous-sol directement, la theke me rappelle gentiment que si je commence à tourner en rond dans les couloirs du club, c'est mieux de porter le masque COVID, chose que les filles sont les premières à ne pas faire mais soit. Je ne veux pas de discordes inutiles et faire preuve de respect des consignes, je mets donc mon masque avant de descendre au sous-sol.
La theke dont je parle, c'est Beatrix, la Polonaise bien portante et sympathique qui arrive au club à 17h00 et qui remplace l'autre du matin.
Avant de descendre, je jette un coup d’œil à la salle du rez-de-chaussée où j'aperçois trois ou quatre filles dont Erika avec son tablier rouge. Pour rappel c'est la fille qui s'occupe des massages et de l'intendance mais aussi des clients dans les chambres, pour ceux qui le savent. Et ceux qui ne le savent pas finissent par deviner, souvent elle se penche pour ramasser des choses au sol et par derrière, on voit assez clairement qu'elle ne porte rien en dessous de son tablier… Et plusieurs fois dans la journée aussi, on la voit aussi courir toute nue comme les autres filles. Tiens😏 Une fois je l'ai même vue, couchée dans le divan au rez-de-chaussée, dans son tablier mais jambes écartées, en train de se masturber… Cette fille n'a plus aucune gêne, plus aucune pudeur. Elle travaille en fait dans le club de longue date comme travailleuse du sexe comme les autres filles et elle y a acquis des passes-droit, tel ce tablier et des sandales au lieu de la nudité totale et les hauts talons. Ça ne l’empêche pas de se balader complètement nue de temps en temps, mais surtout, sans culotte sous ce tablier et ça me fait de l'effet à tous les coups ! Cette fois-ci je dis bien, elle était allongée sur le canapé, le tablier remonté, les jambes écartées se donnant en spectacle, le sexe béant ouvert. On ne peut faire mieux !
Je descends donc en bas malgré la présence de plusieurs filles en haut.
Je comptabilise rapidement les filles présentes, elles ne sont que quatre en ce début de l'année, Mia toujours aussi jolie, cheveux blonds noués en queue de cheval et nue complètement. Maria, vêtue seulement de bottes rouges qui remontent au-dessus de ses genoux et rien d'autre, toujours un sexe et des seins aussi magnifiques. Bianca, en nu intégral aussi, blonde magnifique, petite et mince avec un cul et des seins splendides, assise à sa place habituelle, dans le canapé à droite du bar. Et ensuite, Erika dans son tablier rouge, comme je viens d'en parler. Je considère Erika comme faisant partie des filles puisqu'elle va aussi dans les chambres avec les clients comme je viens d'en parler. Ce qui augmente grandement le fantasme quand on le découvre "Ah merde ! Elle baise aussi celle-là !" Et pas rien donc que dans sa zone "VIP" à l'étage donc, mais n'importe où, dans la salle, en public si ça se présente.
Je disais, j'ai encore vécu une expérience différente cette fois-ci au Bernds, je vais en reparler plus loin. Je m'installe à ma place devenue habituelle, au sous-sol, allongé nu comme un vers aussi sur le canapé (j'étale ma serviette sur le divan comme le font les filles) À côté de ce canapé, se trouve, derrière une vitre, une sorte de cage avec des trous au travers desquels vous n'avez qu'à laisser passer votre bite à la merci des filles qui veulent vous sucer !
Rapidement Mia descend, tient comme par hasard ? On se connait déjà bien, elle me dit qu'elle arrive, juste deux-trois choses à faire. Ça ne dure pas deux minutes, elle s'assoit à côté de moi. Nous commençons à parler, rapidement je tâte ses seins magnifiques, je caresse délicatement ses tétons, elle apprécie. À un moment je commets un impair, j'essaye d'un peu me souvenir : elle est hongroise, ça je me souviens, elle parle six langues, dont le perse ! Ça je me souviens aussi mais je la confonds avec une autre en disant qu'elle a appris le chinois, oups.. ce n'est pas elle. Alors là, se rendant compte qu'elle n'est pas ma seule et unique, elle en profite pour me faire sa jalouse mais c'est du show, ça ne durera qu'un moment et ensemble nous rions. On se tient l'un contre l'autre, enlacés, pendant un long moment. Elle me propose rapidement la chambre mais je lui dis que nous avons le temps et je lui dis aussi de ne pas se tracasser, je regarde ma montre à cet instant en lui disant que le compteur tourne déjà pour elle. Finissons d'abord notre café et elle son coca, ainsi que ce que nous sommes en train de fumer, elle une cigarette et moi une pipe. À un moment donné elle n'en pouvait plus (c'était vraiment ça…). Elle se lève brusquement et m'attire vers la chambre située juste à côté sans même prendre la peine de rassembler ses affaires pour les prendre dans la chambre. Elle plante tout là ! Ça urge ! Car après tout, de quoi avons-nous besoin hormis nos deux corps nus ? Chose que je fais aussi, je laisse mon drap étalé tel quel sur le canapé, mes sandales trainer sur le sol et je la suis, complètement nu aussi, vers cette chambre à côté du donjon. Elle ferme la porte, saute sur le lit, écarte les jambes et hop, il n'y a plus qu'à Mais je décide de tirer l'affaire en longueur pour qu'elle chauffe encore un peu plus. On décide de sortir l'huile lubrifiante et je lui fais un massage sur tout le corps. Visiblement elle adore ça. D'abord allongée sur le ventre, je lui masse longuement les épaules, les muscles de ses bras, les fesses, le sexe, l'anus, tout ça avec cette huile "Durex" que j'ai toujours dans ma sacoche. Ses jambes aussi je les masse. Elle se retourne ensuite à ma demande et je commence à masser son ventre et ses seins. Elle a l'air d'adorer vraiment, je n'en fini pas de masser sa belle poitrine, ça la fait gémir. Ensuite, huile sur son sexe et je masse délicatement son clitoris, ouvrant et refermant ses lèvres avec mes doigts. Vraiment elle adore. Ensuite, j'essuie un peu toute cette huile sur son sexe et j'entreprends sur elle un cunni. Je sais, la connaissant déjà, qu'elle va venir rapidement. Et effectivement, elle mouille, ça coule sur le lit et elle finit par jouir en se cabrant, en hurlant de plaisir, c'est vraiment beau à voir. Ensuite, 69 puis elle me fait un superbe blowjob, me masturbe avec la même huile et je viens. Petite séance girlfriend aussi, elle pose sa tête sur ma poitrine pendant que je sens le souffle de sa respiration et que je la caresse doucement sur tout le corps. Voilà, je ne décris pas souvent mes sessions en détail mais faisons une exception cette fois-ci car ça en valait la peine. L'opération en tout durera une heure et demi mais elle insiste pour ne compter que 60 minutes soit 100,-€ qu'elle va inscrire au bar au rez-de-chaussée comme cela se fait au Bernds. On ne paye les filles qu'à la sortie. Pendant cette phase de repos l'un et l'autre enlacés, nous discutons un peu de notre projet de sortie. Comme je l'ai déjà signalé, un de mes objectifs au Bernds est de sortir cette fille un samedi après-midi jusqu'au lendemain matin dans un hôtel. Elle me fait part de ses désirs à ce sujet, elle souhaite que nous allions manger dans un restaurant puis aller voir un film. Elle me propose même de venir jusque chez moi à Liège mais je lui fais comprendre que c'est un peu loin. Je lui propose plutôt l'hôtel ce qu'elle acquiesce immédiatement.
Comme je l'ai déjà évoqué dans mes comptes-rendus précédents, il faut que l'affaire mûrisse progressivement. Un point qu'il me reste à voir avec elle, j'aimerais l'emmener aussi dans des thermes (piscine, jacuzzi, sauna, etc.) extérieur au club. Il y en a plein dans la région mais, pour ne pas me planter, je dois encore les visiter préalablement, seul, et ainsi choisir celui qui convient le mieux.
Je rappelle ici à ce sujet que l'avantage du club Bernds par rapport aux autres c'est qu'il est fermé le week-end et donc les filles sont disponibles en dehors. Car dans les autres clubs ouverts le samedi et dimanche, les filles préfèrent souvent travailler le week-end ce qui rend plus difficile l'élaboration de plans comme celui-ci. En particulier, si elles n'ont pas envie, elles ont vite le prétexte tout trouvé et on se prend un râteau par rapport à ça.
Après, de nouveau, cette magnifique session avec Mia, je remonte à l'étage pour prendre le repas. La theke, bien gentille et attentionnée comme toujours, s'adresse à moi par mon prénom, ce que j'apprécie toujours, entre dans la pièce restaurant et me demande ce que je veux boire. "Mineral water, bitte" dis-je, comme le plus souvent. Parfois c'est un café mais jamais d'alcool. Pour rentrer je conduis évidemment et il faut faire, bien entendu, très attention qu'il est dangereux de conduire avec de l'alcool dans le sang, surtout d'ailleurs quand c'est pendant la nuit car s'ajoute le risque de s'endormir au volant. Sans parler des contrôles de la Polizei sur la route.
Après ce repas, je redescends à nouveau en bas et me réinstalle à ma place habituelle, parfaitement nu et personne n'y fait d'ailleurs attention, ce que j'apprécie aussi.
Je compte le temps, je décide d'attendre environ une heure trente à deux heures, le temps de digérer mon repas d'abord, c'est la règle comme j'ai dit et de récupérer une bite en forme pour la prochaine session. A mesure que le temps passe, je m'aperçois que ça va être serré. En effet, si j'entre en chambre à 22h30, y reste 1 heure environ, ce que je fais toujours au minimum, nous serons le nez sur l'heure de fermeture (minuit)
A un moment donné, je suis seul en bas mais je sais qu'au Bernds, les choses ne se passent pas aussi rapidement que dans les autres clubs car les filles n'animent pas, c'est à peine si elles vous regardent. C'est pour ça qu'une visite dans ce club prend du temps, le temps que les choses se mettent, que la fille qu'on souhaite soit disponible, s'assurer qu'elle veut bien de vous, etc. Je vais y revenir plus longuement ci-dessous.
Alors donc que je suis seul, voilà que Maria débarque tirant derrière elle deux jeunes et solides gaillards du genre turcs-poilus-barbus. Je comprends immédiatement qu'elle est en train de leur faire visiter le club, c'est probablement la première fois qu'ils viennent ici.
Ces deux gaillards s'installent alors au comptoir et Maria passe derrière pour les servir et surtout papoter avec eux en allemand. J'entends tout sauf que je ne comprends que très peu ce qui se dit ce qui est assurément un handicap dans ce club plus fréquenté par de la clientèle locale que dans les autres clubs, plus proches des frontières et plus cosmopolites. Et de suite, derrière Maria et ses deux gaillards débarquent deux autres filles, Mia de nouveau et Bianca. De sorte que, en l'espace de 1 minute de tout seul dans la cave, on se retrouve à six dont trois filles ! Elles suivent évidemment, l'air de rien, pour essayer chacune d'en embarquer un en chambre. La quatrième fille, Erika, reste au-dessus probablement occupée à ses tâches ménagères.
C'est alors qu'ici les choses se compliquent car… j'ai envie de baiser et donc de prendre une fille. J'ai même envie d'appeler à moi n'importe laquelle mais il y a maintenant ces deux nouveaux clients dans le club, beaux, jeunes et frais qui me font concurrence. Trois des quatre filles sont là, autour d'eux, qui attendent le bon moment, ne sachant pas encore lesquelles vont gagner le gros lot ?
Et soudain, l'un des deux gars appelle Bianca de loin qui est assise dans un des canapés : "Komm mit mir !" (Viens avec moi !) dit-il d'un ton sec et décidé. Bianca se lève aussitôt, laisse aussi ses affaires sur la table et son drap sur le canapé. Le gars l'accroche et ils montent à l'étage directement, sans aucun protocole, sans aucune conversation préalable, sans savoir si la fille a envie de lui (je vais revenir sur ce point) et encore moins sans lui donner envie en la chauffant un peu. Je me dis "M'enfin ! Ce n'est pas comme ça qu'on doit s'y prendre !"
Pour ma part je pense que pour avoir une bonne session avec une fille il faut qu'elle consente. On voit de temps en temps, et ça m'est déjà arrivé, des clients qui prennent des râteaux. Je viens encore de lire récemment, sur un forum, au Sharks à Darmstadt, club très fréquenté, que certaines filles s'amusent à faire la fine bouche et écarter les clients jusqu'à ce qu'elles trouvent quelqu'un qui leur convient. Donc ça existe ! Et moi je fais attention à ça. Je veille au consentement car je souhaite une belle relation, sans effort, sans stress, qui vient toute seule, pendant le temps d'une chambre. Je veux donner du plaisir à la fille d'abord. C'est une philosophie bien sûr et tout le monde n'est pas obligé d'y souscrire mais pour ma part, je hais vraiment d'embarquer une fille sans savoir si elle est bien d'accord ou pas. Et pour moi donc, il faut au moins que la fille m'envoie une message, souvent un large sourire à distance et ça suffit. Car alors je suis rassuré et en même temps attiré comme un aimant, je vais de suite à elle et l'affaire démarre facilement et rapidement. J'aime aussi attendre que la fille me regarde, vienne à moi d'elle-même et me fasse ses propositions. Cela vaut bien entendu surtout avec le filles que je ne connais pas encore. Celles avec qui j'ai déjà été en chambre précédemment, une ou plusieurs fois, je sais que le consentement y est et l'approche est alors beaucoup plus facile. Mais, problème, au Bernds, les filles n'animent pas. Pas du tout, c'est très rare qu'elles jettent le regard sur vous et c'est pour ça que, en ce qui me concerne, une visite dans ce club prend beaucoup de temps. Il faut avoir le temps pour manœuvrer et pour draguer ! Et c'est ça qui est excitant dans ce club. C'est pour ça que j'y retourne parce qu'il y a ce défi. Cette difficulté d'aborder la fille et de l'attirer vers soi. Construire ensuite une petite relation, chauffer la fille, lui donner envie d'aller en chambre et attendre qu'elle le propose. C'est pareil pour l'échange des numéros WhatsApp. Je ne demande jamais, c'est toujours la fille qui le demande. Et pourtant, j'ai mon WhatsApp rempli de filles que j'ai connues en clubs ! Yaka les contacter, yaka les baiser😊
C'est quand-même fondamentalement différent de l'approche telle que celle à laquelle je viens encore d'assister avec ce turc-allemand qui a embarqué Bianca presque manu-military. Voir alors quelle qualité de service il reçoit ? Mais il ne faut s'en prendre alors qu'à soi-même.
Et ça a ses conséquences évidemment car, ici, la session avec Bianca aura duré en tout et pour tout dix minutes ! Ils sont revenus en effet assez rapidement. Mais qu'est-ce qu'il a pu foutre avec la fille en dix minutes !? Ils sont vraiments nuls ces mecs !
On le sait ce qu'il a pu foutre : Il avait déjà une grosse bite en pleine érection avant d'entrer dans la chambre. La fille lui a enfilé promptement le préservatif et lui, il a empalé la fille, dans son sexe, sans même lui demander. Cela, sans aucune chauffe, sans aucune préparation, rien ! De là, mouvements brusques avant-arrière, rahhh… jusqu'à ce qu'il lâche la sauce. L'affaire est pliée, finie en quelques minutes, merci Madame, au revoir !
Voilà ce à quoi j'ai assisté, particulièrement, aujourd'hui😡
Alors pendant les quelques minutes que ce gars était occupé à bourrer Bianca en haut, j'appelle à moi Mia. J'ai envie de la reprendre et je l'invite à nouveau à s'asseoir à côté de moi mais, à ma grande surprise, elle refuse. Elle m'explique qu'elle est réservée, précisément par ce gars en haut et que dans 25 minutes elle part avec lui. Précédemment, alors qu'ils discutaient tous entre-eux au bar, en allemand, je n'ai pas, bien entendu, capté le contenu de leurs conversations et j'imagine que Mia a bien raison, mais je découvre et retombe de mon pieds d'estale.
Ensuite, l'autre gars procède quasiment de la même manière avec Maria qui est toujours derrière le bar à discuter avec lui. Du genre sûrement "Tu viens avec moi baiser un coup ?", à peine plus galant. Chose que Maria ne refuse pas évidemment (que refuse-t-elle cette fille ?) et les voilà partis eux aussi. L'affaire ne durera pas beaucoup plus longtemps, pas beaucoup plus que vingt minutes, à peine mieux que son collègue.
Mais dans tout ça, me voilà marron-chocolat car l'heure tourne, il est déjà 23 heures, je regarde ma montre et je réalise que je n'aurais pas une seconde session aujourd'hui.
C'est comme je viens déjà de le dire, au Bernds, il faut avoir le temps. Il faut prendre le temps. Donc les visites dans ce clubs durent plus longtemps si on veut bien faire les choses.
Arrive alors une chose pour le moins inattendue, une chose que je n'avais encore jamais vécue en Fkk: Je remonte à l'étage, la queue qui commence à être fort basse… et j'attends… J'espère accrocher Erika ou Maria ou Bianca qui vont réapparaître, rapidement comme j'ai pu le constater.
Et là, je ne sais pas comment, mais la theke polonaise bien portante devine la chose. Elle vient à moi, me demande ce que je veux boire, un verre d'eau toujours. Je suis assis à l'étage à la place habituelle de Bianca espérant l'accrocher lorsqu'elle va réapparaître. Et effectivement elle réapparait, je l'appelle à moi mais elle me dit "Je vais prendre une douche" Il est 23h15. Bon... Et là, la theke revient à moi et me dit "Tu veux une fille ?" "Ben oui" lui dis-je en anglais. Quelle clairvoyance ! Car voilà donc que la theke se fait l'entremetteuse en voyant juste ! Elle me propose Mia, je refuse puisqu'elle vient de refuser elle-même. Elle me propose Bianca, ben non, elle prend sa douche. Je demande Maria mais elle me dit qu'elle va partir. Je demande Erika pour un massage, partie aussi. Bon… Alors Maria réapparait et je lui lance "Tu vas partir ?" et on convient que ce sera pour la prochaine fois.
Mais j'ai ici au moins réussi une chose : m'adresser à Bianca et ce n'est alors que partie remise. Et j'ai aussi au minimum un semblant de petit rendez-vous avec Maria.
Là-dessus, je me dis qu'il faut battre le fer tant qu'il est chaud. Il ne faut pas qu'elles oublient. Il faut donc que je revienne dans ce club rapidement, pas dans six mois…
Vous voyez comme ça peut-être compliqué…?
Il est 23h30, c'est cuit. Je décide alors de lever la séance. Alors comme par magie, mais c'est en fait la theke, toujours aussi prévoyante, qui a appelé Mia pour m'accompagner à la sortie, cela même avant que j'aie fini de me rhabiller. Elle m'attend là, au petit desk "administratif". Je lui donne ses 100,-€ prévus, je l'embrasse, lui tâte encore une fois le sein et la fesse et, pour rassurer tout le monde, à savoir ici la theke qui se tracassait croyant que je partais fâché et Mia qui probablement ne savait plus trop quoi non plus, je lance "Ich komme zurück für Mia !" (Je reviendrai pour Mia !) en l'embrassant à nouveau.
Ma décision est prise : Je dois achever le travail rapidement. Je décide que demain, mon test COVID étant encore valable, j'y retourne !
Il faut achever le travail ! Et rapidement comme je viens de le dire.
J'envisage de reprendre Mia, lui prodiguer un massage à nouveau, elle aime trop. Et j'envisage aussi de prendre soit Bianca soit Maria que je viens d'approcher. Ce sera l'une ou l'autre, il ne faut pas faire trop de plans. Comme à mon habitude quand j'entre dans un Fkk : Pas de plan ! Car les choses ne se passent jamais comme on le prévoit de toute façon. Même avec celles avec qui on a un rendez-vous via WhatsApp il faut s'attendre à tout. Elles ont pourtant tout à gagner à se comporter de manière civilisée mais mais mais… c'est dans leurs gènes de faire prendre des râteaux et poser des lapins… Et malgré ça on les aime ! On est fous !
Et ici, pourquoi donc visiter ce club si compliqué ?
C'est par défi. J'ai là trois objectifs :
- Sortir Mia un samedi comme je viens de l'expliquer, pas le plus difficile mais laborieux.
- Second objectif, le plus facile sûrement, subir un massage au salon VIP de Erika, par Erika. Que je (re)baiserai pour l'occasion puisqu'on sait qu'elle fournit toujours des massages++. Massages++ qu'elle vend d'ailleurs très bien dès qu'on lui adresse la parole.
- Baiser au moins une fois toutes les filles de ce club ! Pas difficile, elles ne sont pas nombreuses, j'en dénombre neuf jusqu'ici :
- Erika (baisée)
- Mia (baisée)
- Cleo (baisée)
- Isa (baisée)
- Sarah (baisée)
- Jenna (baisée)
- Bianca (à baiser)
- Maria (à baiser)
- Candy (à baiser)
Candy, je ne l'ai pas revue depuis octobre dernier, elle ne reviendra peut-être pas. De même que Jenna et Sarah, l'Histoire nous le dira.
Ces trois objectifs nécessitent encore au moins cinq visites dont trois pour baiser les trois filles restantes.
Que dire d'autre ? Merci de m'avoir lu jusqu'ici.
Ce que je vais faire donc, ce vendredi 7 janvier, c'est d'arriver plus tôt dans ce club pour ne plus que se reproduisent les mêmes coups de temps que je viens de raconter, avoir le temps de faire ce que je veux faire. A savoir baiser à nouveau Mia puis, soit Maria soit Bianca. Avantage du vendredi : Le club ferme une heure plus tard, à 1 heure du matin, on a donc une heure en plus pour draguer et baiser.
Je sais aussi, la theke me l'a dit, que ce vendredi 7 janvier, Cleo sera là. Mais je la laisserai de côté, je l'ai déjà prise lors de mon trio mémorable dans la cabane fumeur au fond du jardin.
Ce faisant également, en arrivant plus tôt ce vendredi 7 janvier, je profite toujours de mon test COVID valable 24 heures, jusque 17h12 exactement. C'est aussi ce qui me motive à revenir dès le lendemain car pas besoin de passer encore à Niederzier.
Baiser Erika dans son salon de massage VIP sera pour une prochaine fois aussi, de même que Candy si elle réapparaît. Une fois sur place, je peux poser la question de savoir quand elle revient, si elle revient.
C'est clair que ces objectifs que je me fixe constituent tous pour moi un petit "challenge", ce qui rend la chose intéressante. Il faut se fixer des objectifs dans la vie et avoir le plaisir de les réussir.
Je voudrais aussi que, par ces différents récits sur le club Bernds, attirer l'attention sur ce club et la philosophie qui y règne car je pense qu'il vaut vraiment la peine, pour les punters expérimentés. Il faut de l'expérience pour aller en ce lieu et l'apprécier. Sauf bien entendu à faire comme ces deux gars que j'ai vus aujourd'hui. Car finalement, faire ce qu'ils ont fait, jouer la grosse brute et l'égoïste, tout le monde sait faire.
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